Peter et Waterman, les auteurs du remarquable ouvrage "Le prix de l'excellence", rapportent une expérience qui illustre bien le principe de la puissance des mots, même s'ils ne coïncident pas avec la réalité.
On connaît le vieil adage : le succès appelle le succès, c'est scientifiquement prouvé. Les chercheurs qui étudient les mécanismes de la motivation ont découvert que le facteur primordial est simplement que les gens motivés sont conscients de bien faire.
Que ce soit vrai ou faux dans l'absolu, ça n'apas grande importance.
Lors d'une expérience, on donna 10 problèmes à résoudre à des adultes. C'étaient exactement les mêmes pour tous les sujets. Ils se mirent à la tâche, rendirent les feuilles et, à la fin, on leur donna les résultats.
En réalité, ces résultats étaient fictifs. On dit à la moitié d'entre eux que c'était bon avec 7 réponses correctes sur 10 et aux autres qu'ils avaient échoué avec 7 mauvaises réponses sur 10.
Puis, on leur confia 10 nouveaux problèmes (les mêmes pour tous). Ceux auxquels on avait dit qu'ils avaient réussi lors du premier test firent mieux au second, et les autres, firent vraiment pire.
Le simple fait de savoir que l'on a réussi entraîne apparemment plus de persévérance, une motivation plus grande ou quelque chose qui nous pousse à mieux faire.
On connaît le vieil adage : le succès appelle le succès, c'est scientifiquement prouvé. Les chercheurs qui étudient les mécanismes de la motivation ont découvert que le facteur primordial est simplement que les gens motivés sont conscients de bien faire.
Que ce soit vrai ou faux dans l'absolu, ça n'apas grande importance.
Lors d'une expérience, on donna 10 problèmes à résoudre à des adultes. C'étaient exactement les mêmes pour tous les sujets. Ils se mirent à la tâche, rendirent les feuilles et, à la fin, on leur donna les résultats.
En réalité, ces résultats étaient fictifs. On dit à la moitié d'entre eux que c'était bon avec 7 réponses correctes sur 10 et aux autres qu'ils avaient échoué avec 7 mauvaises réponses sur 10.
Puis, on leur confia 10 nouveaux problèmes (les mêmes pour tous). Ceux auxquels on avait dit qu'ils avaient réussi lors du premier test firent mieux au second, et les autres, firent vraiment pire.
Le simple fait de savoir que l'on a réussi entraîne apparemment plus de persévérance, une motivation plus grande ou quelque chose qui nous pousse à mieux faire.
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